A Pradiers, la plus grande colonie de vacances pour bovins

La COPTASA. Un nom énigmatique (sauf pour mic qui est voisin !) Il s'agit tout simplement d'une sorte de colonie de vacances pour vaches. Cet article nous explique l'objet de cette structure et les enjeux auxquels elle doit faire face.
https://www.lamontagne.fr/pradiers-15160/actualites/dans-le-cantal-la-plus-grande-colonie-de-vacances-pour-bovins-de-france_13798210

Et en plus de grande colonie de vacances, tu as un super panorama sur les monts du Cantal, Sancy et Puy de Dome

Un article interessant (hormis la mention climatique désormais obligatoire).
Un actif foncier colossal et une rente probablement juteuse.
Mic tu nous en feras une simulation comptable.
Excellente affaire à l’époque pour ceux qui pouvaient et qui ont transmis aux possesseurs actuels.
Des grands espaces ouverts et calmes désormais rares dans nos pays.
Y faire sa vie sans gêner ni être gêné.
S’asseoir et contempler, gaffe au taureau et aux tiques.
Un coin sympa pour prendre l’air, été comme hiver.
Avoir son grand lopin à soi, c’est possible peut-être encore en Sibérie ?
Pas sûr... oligarques et Chinois ont de gros moyens.

rem a écrit:

Un article interessant (hormis la mention climatique désormais obligatoire).

Serais-tu climatosceptique ?
Ça méritait peut être pas un encart / aplat de couleur mais c'est pourtant bien quelque chose avec lequel les éleveurs doivent composer désormais. Mais la façon dont c'est présenté dans l'article donne l'impression que c'est plutôt bien géré (les soucis de gestion de stock du foin)

L'encart-réflexe est aussi et surtout un encart-boomerang, les climato-réchauffistes considérant que les bovins produiraient trop de méthane qui serait mauvais pour le climat.
Indépendamment de tout ça, les Paysans ont toujours su mener leur barque. L'INRA situé vers Marcenat peut aussi être de bon conseil. Ces estives pourtant bien arrosées mais totalement artificielles, pelées par des siècles de déboisements ancestraux, pourraient réintégrer quelques hêtraies et autres haies afin de collecter et retenir encore plus d'humidité.

rem a écrit:

Avoir son grand lopin à soi, c’est possible peut-être encore en Sibérie ?

deux hectares, c'est dèjà un beau lopin, non ?
donc oui, à Lure, c'est possible...et les hivers y sont moins rigoureux
j'attends le soleil pour prendre les 2 canassons qui en profitent...parce qu'à la tondeuse, c'est trop...et à la cisaille, ça manque de volontaires...

                                                                                         

rem a écrit:

L'encart-réflexe est aussi et surtout un encart-boomerang, les climato-réchauffistes considérant que les bovins produiraient trop de méthane qui serait mauvais pour le climat.
Indépendamment de tout ça, les Paysans ont toujours su mener leur barque. L'INRA situé vers Marcenat peut aussi être de bon conseil. Ces estives pourtant bien arrosées mais totalement artificielles, pelées par des siècles de déboisements ancestraux, pourraient réintégrer quelques hêtraies et autres haies afin de collecter et retenir encore plus d'humidité.

Un petit retour en arrière ne ferait pas de mal, c'est sur. Des expérimentations ont été menées à des échelles micro-locales et le verdict est toujours le même : les haies, c'est la vie !

Antonio a écrit:

Ça méritait peut être pas un encart / aplat de couleur

ce qui signifie ?

                                                                         

Antonio a écrit:

Un petit retour en arrière ne ferait pas de mal, c'est sur.
les haies, c'est la vie !

question de haie...je me demande ce qu'elle devient, notre petite Brigitte

                                                                                                   

2 hectares, c'est pas mal d'entretien, mais c'est un beau jardin et un beau potager généreux.
Sachant que, au moyen-âge, 5 hectares assurent l'auto-suffisance d'une famille, avec les moyens de l'époque.
Alors la surface d'une estive, des centaines d'hectares, c'est énorme.